quinta-feira, 24 de abril de 2008


Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.

Baudelaire

Será paixão, amor loucura?
Será adolescer em cada aurora?
Ou apenas um néctar de palavras....de um deus da escrita??..

3 comentários:

Anónimo disse...

Tamos muito românticos. è da Primavera?

All Varo disse...

Talvez...mas(è)não é grave!

Anónimo disse...

Que mágoa …! Ver O poema “devassado” aqui, assim, em público.